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Édito de la semaine

Le progrès, oui... mais (de la Gaule à l'Empire)

Rien n’arrête le progrès, depuis la Préhistoire et l’apparition de l’homme sur terre ! Il a inventé le feu, la charrue, l’imprimerie… Progrès incontestables, même pour les Amish.

Pour clore le débat d’actualité, la 4G sera logiquement remplacée par la 5G – cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile, en attendant la prochaine avancée technologique et l’accélération des débits.

Sur le thème du progrès, l’Histoire impose certaines évidences. Simplifions à l’extrême un sujet complexe et non traité (hormis des essais sur la notion de progrès).

1. Le progrès technique s’applique à tous les domaines économiques et scientifiques : agriculture, pêche, industrie, commerce, transports, urbanisme, armement, communication, astronautique, médecine, génétique, etc.

2. Ce type de progrès ne concerne pas les domaines civilisationnels d’ordre spirituel ou esthétique : philosophie, Beaux-Arts, littérature, culture en général. Au niveau mondial (et français), Socrate (ou Descartes), Rembrandt (ou Delacroix), Mozart (ou Bizet), Shakespeare (ou Molière), Goethe (ou Hugo)… ne sont pas comparables ni « dépassés » par des noms contemporains.

3. Le progrès s’inscrit dans un contexte et l’Histoire en citations concerne essentiellement la France : territoire agricole à 90 % jusqu’au milieu du XIXe siècle, bénéficiant d’une unité politique née sous l’Ancien Régime, d’une forte démographie et d’une civilisation remarquable en Europe. À l’inverse, les nombreuses guerres (civiles ou étrangères) qui ruinent le pays ont ralenti les progrès économiques et aggravé les inégalités sociales entre pauvres (le peuple) et riches (les privilégiés).

4. Une dernière constatation va donner tout son sens à cet édito.
Le progrès, pourtant incontestable, fut contesté, critiqué, dénoncé depuis le Moyen Âge : par les victimes (révoltes, émeutes périodiques), par les intellectuels nombreux depuis les Lumières et engagés depuis la Révolution. Au XIXe siècle, la révolution industrielle favorise le progrès (et vice versa), l’essor du capitalisme libéral allant de pair avec le socialisme, né utopique et de plus en plus combattant. La « société de consommation » née au XXe siècle après la Seconde guerre mondiale est périodiquement contestée (Mai 68) et la « théorie de la décroissance » apparue dans les années 1970 est un mythe très médiatisé de nos jours dans les pays riches.

Au XXIe siècle, la prise de conscience des risques et des coûts du progrès se situe désormais à tous les niveaux : humain, social (ou sociétal), politique, économique, écologique, sanitaire et plus globalement environnemental. « Le progrès, oui mais… » À quel prix !?

Entre repères et polémiques, confrontation des faits et des idées, éloges et critiques, nous relevons un défi : rendre compte de ces réalités concomitantes depuis deux mille ans, en dix périodes et deux éditos.

Voici le début de cette longue histoire qui mérite d’être rappelée.

Édito de la semaine

L’appel à la haine, du Consulat à nos jours

La loi du 24 juin 2020 (publiée au JO le 25 juin) a créé un « observatoire de la haine en ligne, chargé du suivi et de l’analyse de l’évolution des contenus haineux, en lien avec les opérateurs, associations et chercheurs concernés ».

Édito de la semaine

L’appel à la haine, du Moyen âge au Consulat

24 juin 2020. Une nouvelle loi (publiée au JO le 25 juin) crée un « observatoire de la haine en ligne, chargé du suivi et de l’analyse de l’évolution des contenus haineux, en lien avec les opérateurs, associations et chercheurs concernés ». L’observatoire est placé auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).

Le Corona virus a volé la vedette à ce texte - comme à bien d’autres thèmes et faits de société. Mais les réseaux sociaux sont quotidiennement mis en cause : injures racistes, antisémitisme récurrent, contenus terroristes ou pédopornographie, harcèlement sexuel ou politique, contestation brutale des représentants de l’ordre et la puissance publique, diffusion de fake-news… Tout est prétexte au déferlement de haine anonyme qui entretient un « climat d’insécurité » dont les médias se font naturellement l’écho.

L’Histoire en citations est faite – entre autres – pour mettre en perspective l’actualité. La haine est aussi présente dans l’histoire que les valeurs républicaines (Liberté, égalité, fraternité) et sur ce point, on ne peut dire qu’il y ait progrès. Ce « sentiment violent qui pousse à vouloir du mal à quelqu’un et à se réjouir du mal qui lui arrive » s’est manifesté de tout temps et sous diverses formes.

Les guerres civiles ou étrangères sont prétexte ou raison à aggraver le phénomène. Les croisades d’hier ou d’aujourd’hui, quel que soit le nom donné à ces guerres sacrées et à la religion qui les inspire, dépassent les limites de la raison humaine.

Particulièrement frappant, choquant, spectaculaire, voire effrayant et surtout dangereux, l’appel à la haine : il atteint un paroxysme sous la Révolution, réputée la période la plus passionnante. Est-ce un paradoxe ?

Du Moyen Âge à nos jours, nous vous proposons un bilan aussi clair que possible : par les mots, les faits, les raisons de la violence, le nombre et la qualité des victimes de la haine. L’ordre chronologique s’impose et le premier édito de cette mini-série se termine en feu d’artifice révolutionnaire.

Édito de la semaine

Les procès historiques, de la Révolution à nos jours

L’Histoire de France est riche en procès plus ou moins historiques et en affaires propres à déchaîner les passions. L’Histoire en citations s’en fait l’écho, chaque cas étant le reflet plus ou moins dramatique d’une époque.

Nous rappellerons en détail cinq procès historiques, avant de résumer en un mot (une citation) une dizaine d’autres affaires qui ont fait la une de l’actualité, sous la Quatrième et la Cinquième Républiques.

Au terme de ce panorama judiciaire, une conclusion heureuse s’impose : la Justice, si injuste soit-elle parfois, a fait d’incontestables progrès dans notre démocratie républicaine.

Édito de la semaine

Les procès historiques sous l'Ancien Régime

Le procès aux assises des attentats de janvier 2015 se tient à Paris du 2 septembre au 10 novembre 2020. Durant deux mois, il va partager l’actualité avec la crise sanitaire. Il entrera fatalement dans l’histoire.

2015. Le massacre commence le 7 janvier dans les locaux de Charlie Hebdo à Paris : les frères Kouachi, deux djihadistes français avérés, tuent 11 journalistes, plus un policer. En fuite, retranchés dans une imprimerie de Seine-et-Marne, ils sont abattus le 9 janvier par le GIGN.

Le 8 janvier, Amedy Coulibaly, proche des frères Kouachi, tue par balle une policière municipale à Montrouge. Le lendemain, il prend en otage les clients d’un Hyper-Cacher à la porte de Vincennes et en tue quatre, pour être finalement abattu par le RAID et la BRI. Au total 17 victimes (avec des blessés graves, des traumatisés à vie). L’émoi est considérable.

Dimanche 11 janvier, 44 chefs d’État défilent à Paris en même temps que 1 500 000 personnes. « Je suis Charlie », le mot est repris partout dans le monde avec des témoignages de solidarité populaire. Cette union sacrée sera de courte durée, mais la mémoire des attentats demeure.

Après cinq années d’instruction, le procès en cour d’assises doit déterminer la responsabilité des  14 accusés, avec de possibles failles dans les services du renseignement et le rôle de la prison dans la radicalisation des terroristes.

L’enjeu, c’est aussi la liberté d’expression, de parole et de conscience, cause sacrée dans la patrie des droits de l’homme – l’organisation terroriste Al Qaïda ayant attaqué la rédaction de l’hebdomadaire satirique pour ses caricatures du prophète de l’Islam Mahomet. Autres symboles visés : l’État et ses représentants, ainsi que la communauté juive.

Les médias britanniques, allemands et espagnols couvrent l’événement et le procès est filmé pour entrer dans les archives, en vertu de la loi Badinter de 1985 : «  une manière de souligner sa dimension historique  » dans l’histoire de la justice française.

L’Histoire de France est riche en procès plus ou moins historiques et en affaires propres à déchaîner les passions. L’Histoire en citations s’en fait l’écho, chaque cas étant le reflet plus ou moins dramatique d’une époque.

Sous l’Ancien Régime, nous faisons revivre dans ce premier édito les fameux et mystérieux Templiers ; Jeanne d’Arc, notre première héroïne nationale condamnée au terme de deux procès pour motif religieux ; Cinq-Mars, acteur du dernier complot au siècle de tous les complots ; l’affaire des Poisons qui terrifie le peuple et menace la cour du Roi-Soleil. Nous évoquons aussi l’Affaire Calas et les autres causes qui ont mobilisé Voltaire, notre premier « intellectuel engagé » contre l’intolérance religieuse.

De la Révolution à nos jours, dans le second édito, nous rappellerons en détail cinq procès historiques, avant de résumer en un mot (une citation) une dizaine d’autres affaires qui ont fait la une de l’actualité, sous la Quatrième et la Cinquième Républiques.

Au terme de ce panorama judiciaire, une conclusion heureuse s’impose : la Justice, si injuste soit-elle parfois, a fait d’incontestables progrès dans notre démocratie républicaine.

Édito de la semaine

Les mots nouveaux

Langue toujours vivante, le français s’enrichit depuis le Moyen Âge et surtout la Renaissance, atteignant un point de perfection (classique) au siècle de Louis XIV et sous les Lumières. Mais l’histoire de la France et du français continue, citations l’appui !

Fait évident, l’évolution sémantique s’accélère et tourne à l’inflation, entre la fin du XXe et le début du XXIe siècle. Que ce soit bien ou mal, c’est un fait, dû en partie aux progrès scientifiques et techniques : toute invention implique un mot nouveau, dit « néologisme objectif ».  Plus nombreux, les « néologismes de sens » reprennent et recyclent un mot ancien, parfois oublié.

L’actualité impose son vocabulaire avec des thèmes récurrents ou inédits.

Édito de la semaine

L’Histoire en proverbes et dictons, devises, maximes et autres slogans (de la Révolution à nos jours)

Proverbes et dictons, sagesse des nations.
Dans le monde à venir, ça peut toujours servir.

De la Gaule à nos jours, des centaine d’« expressions » ponctuent l’Histoire en citations. Les dictionnaires alignent les synonymes : adage, axiome, devise, dicton, formule, inscription, maxime, précepte, sentence, slogan, etc… Mais la terminologie imprécise rend le classement impossible. 

Édito de la semaine

L’Histoire en proverbes et dictons, devises, maximes et autres slogans (de la Gaule au Siècle des Lumières)

Proverbes et dictons, sagesse des nations.
Dans le monde à venir, ça peut toujours servir.

De la Gaule à nos jours, des centaine d’« expressions » ponctuent l’Histoire en citations. Les dictionnaires alignent les synonymes : adage, axiome, devise, dicton, formule, inscription, maxime, précepte, sentence, slogan, etc… Mais la terminologie imprécise rend le classement impossible. 

Première remarque, nombre d’expressions changent de nature pour cause de succès ! Une devise qui sonne bien peut devenir proverbe : « À cœur vaillant, rien d’impossible », de même qu’une expression générale : « Vae victis - Malheur aux vaincus » ou un précepte très localisé et daté : « De deux maux, on doit toujours choisir le moindre - Dels dos mals, le mens mal deu om tots temps trier ». Notons que VO et VF voisinent souvent.

Un cri né d’une émeute ouvrière pour raison économique s’inscrira plus tard sur le drapeau noir de l’anarchie : « Vivre libres en travaillant ou mourir en combattant ». Le titre d’un journal éphémère ressuscite en devise anarchiste : « Ni Dieu ni maître ». Quant à notre trilogie républicaine « Liberté, égalité, fraternité » (revendiquée par un auteur !), elle connaît un parcours mouvementé au fil des changements de régime marquant le siècle suivant.

L’origine historique d’un « mot » est souvent lointaine : « L’argent est le nerf de la guerre », « Diviser pour régner - Divide ut regnes » et parfois incertaine : « Après nous, le déluge ».

Une devise vaut portrait (flatteur) d’un personnage : « Quo non ascendet ? - Jusqu’où ne montera-t-il pas ? » Cette ambition proclamée résume le destin de Fouquet, surintendant des Finances. Colbert, son successeur auprès de Louis XIV, affiche sa déontologie ministérielle : « Pro rege saepe ; pro patria semper - Pour le roi souvent ; pour la patrie toujours. » Jeanne d’Arc affichait sa foi : « Dieu premier servi ». Mais la référence chrétienne marque tout le Moyen Âge.

La portée d’un simple dicton étonne parfois : « Le roi de France ne meurt jamais » explique la pérennité de la dynastie royale qui caractérise l’Ancien Régime. Notre Moyen Âge s’éclaire soudain entre un dicton festif - « Après la panse vient la danse » - et une maxime monétaire - « Il faut faire suer les écus ». Tout le bellicisme du règne de Louis XIV se résumera en cette devise gravée sur ses canons : « Dernier argument des rois - Ultima ratio regum  ».

Le talent est au rendez-vous de ces citations proverbiales, le prix de la poésie revenant au peuple savoyard plébiscitant son rattachement à la France, sous Napoléon III : « Nos cœurs ont suivi le cours de nos rivières. » Reste le génie incontesté de La Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. » Avec son bestiaire, le Bonhomme nous laisse des dizaines de proverbes, très inspirés d’Ésope et autres fabulistes.

Si les slogans fleurissent à chaque émeute ou manifestation, la moisson de Mai 68 se distingue par son abondance et son originalité. D’autres suivront, politiques, écologiques, électoraux, voire sportifs : « La France black blanc beur » de 1998.
Cela dit, les dictons d’antan ayant résisté au temps gardent leur charme… et parfois leur actualité. À vous de juger ! Ça pourrait même faire l’objet d’un petit jeu de société.

Pour cet édito, le classement par ordre chronologique s’impose - toujours le plus simple et souvent le meilleur. Cette promenade guidée au fil de l’histoire réserve des surprises et il en restera toujours quelque chose - qui ressemble à la « culture générale ».

Édito de la semaine

Lecture recommandée en temps de vacances : les Mémoires, de la Monarchie de Juillet à nos jours

Catégorie littéraire importante dans un pays qui conjugue plaisir d’écrire et passion de l’histoire, c’est surtout une autre manière de la raconter.

Les Mémoires (souvent posthumes), textes plus ou moins intimes, anecdotiques et factuels ou très personnels, sont diversement titrés : Commentaires, Confidences, Confessions, Pensées, Cahiers, Carnets, Notes, Souvenirs, Témoignages, Journal, Essais, Antimémoires… Cette vision de l’histoire complète celle des historiens en plus libre : infinie variété de ton, feu d’artifice de talent et d’intelligence.

Édito de la semaine

Lecture recommandée en temps de vacances : les Mémoires, du XVIe siècle à la Monarchie de Juillet

Catégorie littéraire importante dans un pays qui conjugue plaisir d’écrire et passion de l’histoire, c’est surtout une autre manière de la raconter.

Les Mémoires (souvent posthumes), textes plus ou moins intimes, anecdotiques et factuels ou très personnels, sont diversement titrés : Commentaires, Confidences, Confessions, Pensées, Cahiers, Carnets, Notes, Souvenirs, Témoignages, Journal, Essais, Antimémoires… Cette vision de l’histoire complète celle des historiens en plus libre : infinie variété de ton, feu d’artifice de talent et d’intelligence.

Outre le trio de tête de l’Histoire en citations (Napoléon, de Gaulle, Hugo), nous retrouvons des noms et des œuvres connues, à commencer par Les Essais de Montaigne, petit chef d’œuvre inlassablement remanié par l’auteur qui fera école. Les Caractères de la Bruyère sont aussi un modèle du genre. Voltaire disserte au fil de ses Lettres anglaises en historien original et Montesquieu se confie dans ses Cahiers. Les récits autobiographiques de Rousseau annoncent le romantisme du siècle suivant, d’autres mémorialistes témoignant d’un Ancien Régime finissant.

Avant et pendant la Révolution, Rivarol nous régale de son humour (de droite, mais irrésistiblement intelligent). D’autres témoins ont d’autres formes de courage.

Le prince de Talleyrand fait carrière de l’Ancien Régime à la Monarchie de Juillet, au service de la France et de ses intérêts personnels, ministre (malheureusement) éphémère de Napoléon qu’il juge à sa juste valeur dans ses Mémoires. L’empereur se dévoile dans son Mémorial de Sainte-Hélène (avec la complicité de Las Cases), comme dans ses Maximes et Pensées.

Chateaubriand, notre plus grand mémorialiste, écrit ses Mémoires d’outre-tombe (posthumes par définition), tentative superbement avortée d’une histoire de France projetée. Autre témoin et acteur de premier plan, Victor Hugo nous livre ses Choses vues, son Année terrible et autres pages d’un génie aux prises avec l’Histoire.

L’Extinction du paupérisme de Louis-Napoléon Bonaparte reflète l’homme, ses idées et son temps. Les poètes romantiques déchantent, déçus par l’histoire et la politique (Musset, Vigny, bientôt Lamartine). Les socialistes français (le comte de Saint-Simon, Proudhon, Louis Blanc, Auguste Blanqui, Georges Sorel) multiplient les essais exprimant leur foi politique. De grands romanciers nous étonnent et nous régalent : Stendhal, Dumas, Flaubert (Dictionnaire des idées reçues).

Au XXe siècle, Malraux nous offre ses Antimémoires et de Gaulle entre à la Pléiade avec ses Mémoires en trois tomes. Tous les « intellectuels engagés » à divers titres, parfois aussi romanciers et poètes, ont témoigné dans des essais très personnels : Péguy, Blum, Valéry, Mauriac, Maurras, Vailland, Brasillach, Sartre (Situations I, II, III) et Camus (Actuels I, II, III), Saint-Ex, Duhamel, Bernanos, Gide, Montherlant, Giraudoux, Aron, Sauvy, Jean Rostand et d’autres, cependant que Mitterrand, Chirac et Sarkozy délivrent leur message plus ou moins présidentiel.

Au fil de l’histoire, combien d’autres découvertes ! Militaires de tous rangs (simple soldat ou grognard, général ou maréchal), courtisans et cardinaux, ministres et députés, économistes et savants, croyants déchirés (Lamennais), révolutionnaires et anarchistes.

Des femmes témoignent, souvent en relation avec un homme célèbre : Marie Mancini, la comtesse du Barry, Mme Campan, Mme Roland, Mme de Staël, Mme de Genlis, la duchesse de Berry, Louise Michel, Simone de Beauvoir.

Et Casanova, Goldoni, Goethe, Metternich : quand leur destin croise celui de la France.

Pages

La collection

Les Chroniques…

Les Chroniques, en 10 volumes, racontent l’histoire de France de la Gaule à nos jours, en 3 500 citations numérotées, sourcées, replacées dans leur contexte, et signées par près de 1 200 auteurs.

… et le Dictionnaire

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L'Histoire en citations - Siècle de Louis XIV

L'Histoire en citations - Renaissance et guerres de Religion, Naissance de la monarchie absolue

L'Histoire en citations - Restauration, Monarchie de Juillet, Deuxième République

L'Histoire en citations - Seconde Guerre mondiale et Quatrième République

L'Histoire en citations, collection de 11 livres numériques… à télécharger !

Comme dans toutes les (bonnes) librairies, vous pouvez feuilleter les livres avant d'acheter.

L'Histoire en citations - Gaule et Moyen Âge

L'Histoire en citations - Renaissance et guerres de Religion, Naissance de la monarchie absolue

L'Histoire en citations - Siècle de Louis XIV

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