Voltaire : « Le monstre est un chien qui aura entendu aboyer quelques chiens […] et qui aura pris la rage. »
Au siècle des Lumières, la société est plus « éclairée », la civilisation plus raffinée. La peine de mort devient d’autant plus choquante que la justice est réellement injuste. Les erreurs judiciaires frappent des innocents dont la condamnation est par définition… définitive.
Premier intellectuel engagé, Voltaire se bat, militant non pas contre la peine de mort, mais contre l’injustice en général et l’intolérance religieuse en particulier. La plupart des philosophes seront sensibles à cette tare de l’Ancien Régime finissant.