Paul Deschanel
« Nous voterons pour Deschanel en criant « vive Clemenceau ! ». »
Exclamation d’un député, février 1920. La Vie politique sous la IIIe République, Jean-Marie Mayeur
« Nous voterons pour Deschanel en criant « vive Clemenceau ! ». »
Exclamation d’un député, février 1920. La Vie politique sous la IIIe République, Jean-Marie Mayeur
« Messieurs, la séance continue ! »
Charles-Alexandre DUPUY (1851-1923), Chambre des députés, 9 décembre 1893. Annales de la Chambre des députés (1893), Assemblée nationale
« Je n’ai rien à offrir que du sang, de la sueur et des larmes. »
Deux citations exemplaires à divers titres, deux vérités signées d’un grand militaire (Lyautey) et d’un grand politique (Clemenceau), acteurs notoires de la Troisième République et de l’Histoire en citations.
Première Guerre mondiale (1914-1918). Depuis quatre ans, la célébration de cet événement majeur du récit national fait périodiquement la une de l’actu et l’Histoire en citations lui fait écho. À cette occasion, nous vous offrons un téléchargement gratuit (extrait de la Chronique 8).
Le 3 août 1914, l’Allemagne déclare la guerre à la France : cette semaine est consacrée au début de la « Grande Guerre ». La fin sera traitée avec l’armistice du 11 novembre (1918).
Voici quelques repères simples et clairs - pour en savoir plus, profitez de notre offre et découvrez l’extrait gratuit de notre Chronique, afin de revivre en citations la Première Guerre Mondiale.
Cliquez ici pour télécharger l’extrait gratuit
À l’occasion de l’anniversaire du début de la Première Guerre Mondiale, nous vous proposons de découvrir gratuitement l’extrait gratuit sur la Grande Guerre, tiré de notre Chronique n°8 sur le Second Empire et la Troisième République. Profitez-en !
Épilogue de Thermidor. Quelques grands acteurs de la Terreur sont jugés et condamnés à mort - tels Carrier, Fouquier-Tinville. La Convention thermidorienne affronte deux insurrections populaires, évite le pire à Paris, mais la Terreur blanche ensanglante la province. Fin de la Révolution, place au nouveau régime du Directoire - et à Bonaparte, bientôt Napoléon, sacré empereur.
Le Neuf-Thermidor est chanté, salué, célébré comme une délivrance et la Convention (dite) thermidorienne adopte une politique de modération, pour rallier à la République l’ensemble du pays. Les contre-révolutionnaires (monarchistes, émigrés) restent des opposants irréductibles.
27 juillet 1794 (9 Thermidor an II). Jour du coup d’État proprement dit.
Le drame se joue en quelques heures : à la tribune de l’Assemblée, puis dans les rues de Paris où les insurgés de la Commune tentent de sauver Robespierre. Le lendemain, Robespierre et ses amis sont guillotinés.