Fort ou faible, généralement mal aimé, accusé de tous les maux du pays et des Français, sous l’Ancien Régime comme en République, c’est un mal nécessaire qui peut se révéler fort utile, pour diriger durablement l’État, entité politique et juridique indispensable.

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« Pesez, Louis, pesez ce que c'est que d'être roi de France. »260

PHILIPPE IV le Bel (1268-1314) à son fils aîné Louis, le jour de sa mort, 29 novembre 1314

« Ce Dauphin en son Dauphiné, c’est déjà le roi Louis. »362

Pierre CHAMPION (1880-1942), Louis XI (1927)

« Car tel est notre plaisir. »378

LOUIS XI (1423-1483), édit du 31 octobre 1472, forme des placets royaux

« Car tel est notre plaisir. »437

FRANÇOIS Ier (1494-1547)

« L’État s’est crevassé et ébranlé depuis la journée de la Saint-Barthélemy, depuis que la foi du prince envers le sujet et du sujet envers le prince, qui est le seul ciment qui entretient les États en union, s’est si outrageusement démentie. »534

Philippe DUPLESSIS-MORNAY (1549-1623), Mémoires et correspondance de Duplessis-Mornay pour servir à l’histoire de la réformation et des guerres civiles et religieuses en France, sous les règnes de Charles IX, de Henri III, de Henri IV et de Louis XIII, depuis l’an 1571 jusqu’en 1623

« Il faut dormir comme le lion, sans fermer les yeux. »687

Cardinal de RICHELIEU (1585-1642), Testament politique

« Assurez-vous toujours de mon affection qui durera jusqu’au dernier soupir de ma vie. »703

LOUIS XIII (1601-1643), Lettre à Richelieu, 16 octobre 1629

« C’est le plus grand serviteur que jamais la France ait eu. »706

LOUIS XIII (1601-1643), défendant le cardinal contre sa mère au lendemain de la journée des Dupes, le 11 novembre 1630

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