L’histoire de France par les chansons, ça existe et c’est tout à la fois drôle et dramatique, héroïque et poétique. Moyen d’expression populaire et souvent anonyme aux origines, il se joue de la censure. Les œuvres sont ensuite signées, revendiquées, faisant parfois carrière politique - la Marseillaise ou l’Internationale.

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« Par la voix du canon d’alarme, / La France appelle ses enfants. "Allons, dit le soldat, Aux armes ! / C’est ma mère, je la défends."Mourir pour la patrie, / C’est le sort le plus beau, / Le plus digne d’envie. »2128

Auguste MAQUET (1813-1888), paroles, et Alphonse VARNEY (1811-1879), musique, Chant des Girondins (1847), entonné le 22 février 1848 au matin, place de la Concorde

« V’là le Sire de Fish-ton-Kan, / Qui s’en va-t-en guerre, En deux temps et trois mouv’ments : Sens devant derrière […]Badinguet, fich ton camp. »2319

Paul BURANI (1845-1901), paroles, et Antonin LOUIS (1845-1915) musique, Le Sire de Fich-ton-kan (1870), chanson

« Debout ! Les damnés de la terre !Debout ! Les forçats de la faim ! »2382

Eugène POTTIER (1816-1887), paroles de L’Internationale, chanson

« La patrouille allemande passe,Baissez la voix, mes chers petits,Parler français n’est plus permisAux petits enfants de l’Alsace. »2420

Gaston VILLEMER (1840-1892), paroles, et Lucien DELORMEL (1847-1899), musique, Le Maître d’école alsacien, chanson

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