Si présents, si absents dans l’Histoire - l’un de ses paradoxes.

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« Maman, est-ce qu'hier n'est pas fini ? »1388

Le dauphin LOUIS, futur « LOUIS XVII » (1785-1795), à Marie-Antoinette, fin juin 1791

« Allons, enfants de la patrie… »1410

ROUGET de l’ISLE (1760-1836), Chant de guerre pour l’armée du Rhin (1792)

« Si je n’ai pas répondu, c’est que la nature se refuse à répondre à pareille inculpation faite à une mère : j’en appelle à toutes celles qui peuvent se trouver ici. »1542

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), réplique à un juré s’étonnant de son silence au sujet de l’accusation d’inceste, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793

« Enfants de la Patrie, vous vengerez ma mort. »1552

Olympe de GOUGES (1748-1793), guillotinée le 3 novembre 1793. Son mot de la fin

« Je me donne des ancêtres. »1844

NAPOLÉON Ier (1769-1821), château de Compiègne, 27 mars 1810

« C'est nous qui fessons, et qui refessons, Les jolis petits, les jolis garçons. »1967

Pierre Jean de BÉRANGER (1780-1857), Les Révérends Pères, chanson

« Fichtre ! fit Gavroche. Voilà qu'on me tue mes morts. »2076

Victor HUGO (1802-1885), Les Misérables (1862)

« Par la voix du canon d’alarme, / La France appelle ses enfants. "Allons, dit le soldat, Aux armes ! / C’est ma mère, je la défends."Mourir pour la patrie, / C’est le sort le plus beau, / Le plus digne d’envie. »2128

Auguste MAQUET (1813-1888), paroles, et Alphonse VARNEY (1811-1879), musique, Chant des Girondins (1847), entonné le 22 février 1848 au matin, place de la Concorde

« Véritable Saturne du travail, l'industrie dévore ses enfants et ne vit que de leur mort. »2251

Louis-Napoléon BONAPARTE (1808-1873), L’Extinction du paupérisme (1844)

« Mon enfant, tu es sacré par ce plébiscite. L’Empire libéral, ce n’est pas moi, c’est toi ! »2304

NAPOLÉON III (1808-1873), à son fils, le prince impérial Eugène Louis Napoléon, âgé de 14 ans, 8 mai 1870

« La patrouille allemande passe,Baissez la voix, mes chers petits,Parler français n’est plus permisAux petits enfants de l’Alsace. »2420

Gaston VILLEMER (1840-1892), paroles, et Lucien DELORMEL (1847-1899), musique, Le Maître d’école alsacien, chanson

« La réconciliation des enfants au chevet de la mère malade. »2652

Édouard HERRIOT (1872-1957), parlant avec ironie du nouveau gouvernement Poincaré, 23 juillet 1926

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