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« Ce sont des amis éprouvés, Crions tous : Vive les pavés ! »2169

Eugène PHILIPPE (XIXe siècle), Chanson en l’honneur des pavés (1848)

« Le bonnet de coton ne se montra pas moins hideux que le bonnet rouge. »2173

Gustave FLAUBERT (1821-1880), L’Éducation sentimentale (1869)

« L’an passé, ils adoraient le sabre. Les voilà maintenant qui adorent le gourdin. »2209

Victor HUGO (1802-1885), mots prémonitoires, datés de novembre 1849

« Le propre de la démocratie est de s’incarner dans un homme. »2215

Louis-Napoléon BONAPARTE (1808-1873), à la veille du coup d’État

« Une opération de police un peu rude. »2216

Duc de MORNY (1811-1865), ministre de l’Intérieur (et demi-frère de Louis-Napoléon) qualifiant le coup d’État du 2 décembre 1851.
Mot attribué plus tard, selon certaines sources à l’écrivain Eugène-Melchior de VOGÜÉ (1848-1910)

« Vous allez voir comment on meurt pour 25 francs. »2217

Alphonse BAUDIN (1811-1851), député, appelant le peuple à la lutte, sur une barricade de la rue Sainte-Marguerite, 3 décembre 1851

« Ce n'est pas la peine d'avoir risqué le coup d'État avec nous tous pour épouser une lorette. »2254

Duc de PERSIGNY (1808-1872), à Napoléon III, décembre 1852

« On peut tout faire avec des baïonnettes, excepté s’asseoir dessus ! »2300

Prince NAPOLÉON (1822-1891), septembre 1869.
Mot également attribué à Georges CLEMENCEAU (1841-1929), et surtout au Feld-maréchal autrichien SCHWARZENBERG (1771-1820), déplorant la fragilité du régime en 1814 (Restauration)

« Paris sera soumis à la puissance de l'État comme un hameau de cent habitants. »2373

Adolphe THIERS (1797-1877), Déclaration du 15 mai 1871

« Puisque nous sommes les plus forts, nous devons être modérés. »2447

Léon GAMBETTA (1838-1882), devant le progrès constant des républicains aux élections en 1876

« Puisqu’il y a une bêtise à faire, la Ville Lumière la fera ! »2495

Jules SIMON (1814-1896), Souviens-toi du Deux-décembre (1889)

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