Mot thème et mot clé le plus présent dans l’histoire de France en citations. Logique. Mais que de perles ! Un exemple parmi quelques centaines : “ Un fou a dit “Moi la France” et personne n’a ri parce que c’était vrai. ” Faut-il préciser qu’il s’agit du général de Gaulle en 1940, vu par Mauriac.

Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index

Affichage de 51 - 75 sur 143.

« En France, on ne permet qu’aux événements de voter. »1672

Mme de STAËL (1766-1817), Des circonstances actuelles qui peuvent terminer la Révolution et les principes qui doivent fonder la République en France (posthume, 1906)

« Ces cinq ans de Consulat – l’une des plus belles pages de la plus belle des histoires, l’histoire de France. »1684

Louis MADELIN (1871-1956), Histoire du Consulat et de l’Empire. L’Avènement de l’Empire (1937-1954)

« Une suite d’événements sans pareils ont fait de la France un monde nouveau. »1731

Jacques NECKER (1732-1804), Dernières vues de politique et de finances (1802)

« Il faut que, pour ce qui regarde la France, la Suisse soit française comme tous les pays qui confinent à la France. »1732

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Allocution aux cinq députés de la Suisse à Saint-Cloud, 11 décembre 1802

« Je me suis mis à la disposition des événements et, pourvu que je restasse Français, tout me convenait. »1836

TALLEYRAND (1754-1838), Mémoires et Correspondance du prince de Talleyrand (posthume, 1891)

« La démocratie coule à pleins bords dans la France, telle que les siècles et les événements l'ont faite. »1990

Pierre-Paul ROYER-COLLARD (1763-1845), Chambre des députés, 22 janvier 1822

« Autant proposer une loi en un seul article, qui dirait : L’imprimerie est supprimée en France au profit de la Belgique. »2002

Casimir PÉRIER (1777-1832), à propos du projet de loi sur la police de la presse, Chambre des députés, 29 décembre 1826.
Mot également attribué, selon quelques sources, à ROYER-COLLARD (1763-1845), autre député libéral

« La France est une nation qui s’ennuie. »2098

Alphonse de LAMARTINE (1790-1869), Discours à la Chambre, 10 janvier 1839

« Par la voix du canon d’alarme, / La France appelle ses enfants. "Allons, dit le soldat, Aux armes ! / C’est ma mère, je la défends."Mourir pour la patrie, / C’est le sort le plus beau, / Le plus digne d’envie. »2128

Auguste MAQUET (1813-1888), paroles, et Alphonse VARNEY (1811-1879), musique, Chant des Girondins (1847), entonné le 22 février 1848 au matin, place de la Concorde

Pages