Grand ministre et fin politique à l’école de Richelieu, cardinal encore plus détesté du peuple et des Grands, menacé de mort sous la Fronde. Né Italien de modeste famille, il accumula une immense fortune en œuvres d’art inestimables. Très apprécié par la régente Anne d’Autriche (cette “ pute de reine ”) et par le jeune Louis XIV qui le laisse gouverner, tout en apprenant son métier de roi à ses côtés.

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« En tout cas, pour ma consolation, il me reste de savoir qu’au galant homme tout pays est patrie. »724

MAZARIN (1602-1661), Lettre à de Montagu, septembre 1637, Londres

« Est-il heureux ? »756

MAZARIN (1602-1661)

« Le Roi sera le maître partout, hors dans cette ville-là. »779

MAZARIN (1602-1661), furieux contre l’attitude de Paris et de son Parlement frondeur, fin 1648

« Louis XIV le reçut comme un père et le peuple comme un maître. »796

VOLTAIRE (1694-1778) évoquant le retour de Mazarin, 3 février 1653

« Sire, je vous dois tout, mais je m’acquitte envers Votre Majesté en lui donnant Colbert. »805

MAZARIN (1602-1661) à Louis XIV, le 9 mars 1661. C’est son « mot de la fin » politique

« Dieu merci, il est crevé. »806

Hortense MANCINI (1646-1699), Mémoires (posthume)