Vivant aussi bien que mort, il profite autant qu’il souffre de la comparaison avec le premier. Son Second Empire - entre Deuxième et Troisième Républiques - est également mal aimé, sans doute injustement, surtout vu par Hugo, le plus ardent, constant et génial opposant de l’Histoire. Restent certaines vérités à redécouvrir, y compris un humour qui surpasse celui de l’Autre.
Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour aux personnages
Affichage de 51 - 61 sur 61.« Nos cœurs ont suivi le cours de nos rivières. »2280
Parole des Savoyards, devenu proverbe, printemps 1860
(1808-1872), ministre de l’Intérieur, Lettre aux préfets, 8 mai 1863
(1831-1913), La Lanterne, 1er juin 1868
« Mon enfant, tu es sacré par ce plébiscite. L’Empire libéral, ce n’est pas moi, c’est toi ! »2304
(1808-1873), à son fils, le prince impérial Eugène Louis Napoléon, âgé de 14 ans, 8 mai 1870
Ces beaux Prussiens (1870), chanson
(1808-1873), Lettre à Guillaume Ier, Sedan, 1er septembre 1870
(1845-1901), paroles, et (1845-1915) musique, Le Sire de Fich-ton-kan (1870), chanson
(1826-1920), en réponse à la déclaration de Gambetta, 4 septembre 1870
Les Actes de Badinguet (1870), chanson