Personnage le plus cité, aimé, voire adoré, en même temps que détesté. C’est la star de l’Histoire en citations. On ne se lasse pas de son éloquence face aux soldats, de sa mauvaise foi contre le pape, de sa misogynie proverbiale. Et son auto portrait réserve quelques surprises. Exemple : “ Quand j’ai besoin de quelqu’un, je n’y regarde pas de si près, je le baiserais au cul. ”

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« Pourquoi ne m’est-il pas permis de pleurer ? »1707

Napoléon BONAPARTE (1769-1821) à la mort de Desaix, Marengo, 14 juin 1800

« C’était un fou, votre Rousseau ; c’est lui qui nous a menés où nous sommes. »1712

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), à Stanislas Girardin, lors d’une visite à Ermenonville, dans la chambre où mourut le philosophe, 28 août 1800

« N’est-ce pas que je suis de la poule blanche ! »1714

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), à sa mère, après l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 24 décembre 1800

« L’espace qui sépare la Grande-Bretagne du continent n’est point infranchissable. »1718

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Lettre à Talleyrand, ministre des Relations extérieures, 19 avril 1801

« Les conquérants habiles ne sont jamais brouillés avec les prêtres. »1719

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Lettre à Lucien Bonaparte, ambassadeur à Madrid, 18 avril 1801

« Le peuple français nomme et le Sénat proclame Napoléon Bonaparte Premier Consul à vie. »1727

Le Sénat, proclamation des résultats du plébiscite, 2 août 1802

« Il faut que, pour ce qui regarde la France, la Suisse soit française comme tous les pays qui confinent à la France. »1732

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Allocution aux cinq députés de la Suisse à Saint-Cloud, 11 décembre 1802

« L’air est plein de poignards. »1741

Joseph FOUCHÉ (1759-1820), mi-janvier 1804

« Qu’il est affreux de mourir ainsi de la main des Français ! »1745

Duc d’ENGHIEN (1772-1804), quelques instants avant son exécution, 21 mars 1804. Son mot de la fin

« C'est pire qu'un crime, c'est une faute. »1747

Antoine Claude Joseph BOULAY de la MEURTHE (1761-1840), apprenant l’exécution du duc d’Enghien, le 21 mars 1804.
Mot parfois attribué, mais à tort, à FOUCHÉ (1759-1820) ou à TALLEYRAND (1754-1838)

« La femme doit obéissance à son mari. »1749

Code civil (21 mars 1804), article 213

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