Personnage le plus cité, aimé, voire adoré, en même temps que détesté. C’est la star de l’Histoire en citations. On ne se lasse pas de son éloquence face aux soldats, de sa mauvaise foi contre le pape, de sa misogynie proverbiale. Et son auto portrait réserve quelques surprises. Exemple : “ Quand j’ai besoin de quelqu’un, je n’y regarde pas de si près, je le baiserais au cul. ”

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« La diplomatie est la police en grand costume. »1759

NAPOLÉON Ier (1769-1821), Maximes et pensées

« L'art de la police est de ne pas voir ce qu'il est inutile qu'elle voie. »1760

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Premier Consul, Au citoyen Fouché, 24 mai 1800

« Un conquérant, c'est un joueur déterminé qui prend un million d'hommes pour jetons et le monde entier pour tapis. »1769

Comte de SÉGUR (1780-1873), Histoire de Napoléon et de la Grande Armée (1824)

« On gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus. »1773

NAPOLÉON Ier (1769-1821), Maximes et pensées

« Eh bien ! duchesse, aimez-vous toujours autant les hommes ?— Oui Sire, quand ils sont polis. »1778

Duchesse de FLEURY (1769-1820), répondant librement à NAPOLÉON Ier (1769-1821), vers 1806

« Les femmes sont l’âme de toutes les intrigues, on devrait les reléguer dans leur ménage, les salons du gouvernement devraient leur être fermés. »1779

Napoléon BONAPARTE (1769-1821), Lettre de celui qui n’est encore que jeune général à son frère Joseph, 8 septembre 1795

« Vivant, il a manqué le monde ; mort, il le possède. »1783

François René de CHATEAUBRIAND (1768-1848), Vie de Napoléon, livres XIX à XXIV des Mémoires d’outre-tombe (posthume)

« Talleyrand, ci-devant noble, ci-devant prêtre, ci-devant évêque, avait trahi les deux ordres auxquels il appartenait. »1785

Louis MADELIN (1871-1956), De Brumaire à Marengo, Histoire du Consulat et de l’Empire, tome III (1938)

« République française, Napoléon Empereur. »1793

En-tête sur les actes officiels, à dater du 18 mai 1804

« Vive le roi ! »1796

Georges CADOUDAL (1771-1804), mot de la fin, et dernier cri du premier des condamnés à être guillotiné place de Grève, 25 juin 1804

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