Un beau mot, avec ou sans majuscule. Cela vaut surtout en cas de conflit – guerre, opposition à un régime ou une décision. Attitude parfois passive, parfois voisine de la révolte.

Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index

Affichage de 1 - 25 sur 45.

« Quand nous ne formerons en Gaule qu’une seule volonté, le monde entier ne pourra nous résister. »22

VERCINGÉTORIX (vers 72-46 av. J.C.), à ses troupes, mai 52 av. J.C., à Gergovie

« Prends-les ! Je suis brave, mais tu es plus brave encore, et tu m'as vaincu. »23

VERCINGÉTORIX (vers 72-46 av. J.C.), jetant ses armes aux pieds de César, fin septembre 52 av. J.C., à Alésia

« Jamais je n’ai avoué les erreurs imputées à l’ordre, ni ne les avouerai. Tout cela est faux. »255

Frère BERTRAND de SAINT-PAUL (fin XIIIe-début XIVe siècle), 7 février 1310

« Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et qu’on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes. »1320

Comte de MIRABEAU (1749-1791), au marquis de Dreux-Brézé, salle du Jeu de paume, 23 juin 1789

« Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part. »2211

Victor HUGO (1802-1885), Assemblée législative, avril 1851

« Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là ! »2234

Victor HUGO (1802-1885), Les Châtiments (1853)

« L’histoire a pour égout des temps comme les nôtres. »2257

Victor HUGO (1802-1885), Les Châtiments (1853)

« J’y suis, j’y reste. »2264

MAC-MAHON (1808-1893), au fort de Malakoff, surplombant la citadelle de Sébastopol, 8 septembre 1855

« Paris sera soumis à la puissance de l'État comme un hameau de cent habitants. »2373

Adolphe THIERS (1797-1877), Déclaration du 15 mai 1871

« On ne peut pas tuer l’idée à coups de canon ni lui mettre les poucettes [menottes]. »2381

Louise MICHEL (1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)

« La patrouille allemande passe,Baissez la voix, mes chers petits,Parler français n’est plus permisAux petits enfants de l’Alsace. »2420

Gaston VILLEMER (1840-1892), paroles, et Lucien DELORMEL (1847-1899), musique, Le Maître d’école alsacien, chanson

Pages