La Terreur est une période de la Révolution française (1793-94), mais la terreur est une constante dans l’histoire, avec les guerres, les attentats… toutes les formes de violence et de terrorisme qui font aujourd’hui encore la une de l’actu, avec les attentats.

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« Y a-t-il guillotine aujourd’hui ?— Oui, répliqua un franc patriote, car il y a toujours trahison. »1572

Reflet de l’état d’esprit du sans-culotte et du terrorisme légal

« Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé. »1576

Louis Antoine de SAINT-JUST (1767-1794), Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse)

« Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau. »1577

Louis Antoine de SAINT-JUST (1767-1794), Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse)

« Les têtes tombaient comme des ardoises. »1595

FOUQUIER-TINVILLE (1746-1795), après la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794)

« Hélas ! je n’ai rien fait pour la postérité ; et pourtant, j’avais quelque chose là. »1599

André CHÉNIER (1762-1794), se frappant le front avant de monter à l’échafaud, 25 juillet 1794. Mot de la fin d’un poète

« L’air est plein de poignards. »1741

Joseph FOUCHÉ (1759-1820), mi-janvier 1804

« Soldats, droit au cœur ! »1965

Maréchal NEY (1769-1815), commandant lui-même son peloton d’exécution, 7 décembre 1815. Son mot de la fin

« Si M. de Robespierre vient, vous lui direz que je n’y suis pas. »2080

Abbé SIEYÈS (1748-1836), à son valet de chambre

« Grâce encore une fois ! Grâce au nom de la tombe,Grâce au nom du berceau. »2099

Victor HUGO (1802-1885), « Au roi Louis-Philippe, après l’arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839. »

« Il s'agit aujourd'hui non plus de couper les têtes, mais d'ouvrir les intelligences. »2371

Henri ROCHEFORT (1831-1913), Le Mot d’ordre, 5 mai 1871

« Le bon Dieu est trop Versaillais. »2378

Louise MICHEL (1830-1905), La Commune, Histoire et souvenirs (1898)

« Désormais, ces messieurs sauront qu’ils ont toujours une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête, ils voteront peut-être des lois plus justes. »2510

Auguste VAILLANT (1861-1894), Déclaration à la police qui l’interroge, après l’attentat qu’il a perpétré, le 9 décembre 1893

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