L’histoire offre tous les exemples d’affaires judiciaires et de procès - politiques, religieux, civils et criminels. La mort, l’exil, le discrédit, toutes les peines peuvent toucher les coupables… ou les victimes, en cas d’erreurs judiciaires. Voir la plus célèbre Affaire (Dreyfus). Grâce aux lois, aux médias, la justice a fait d’incontestables progrès.

Cliquez sur une citation pour la consulter dans son contexte historique.Retour à l’index

Affichage de 26 - 50 sur 79.

« Nous avons plus grand besoin d’un vaisseau que d’un collier. »1238

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), aux joailliers de la couronne, Boehmer et Bassenge

« Il a bien travaillé. »1469

LOUIS XVI (1754-1793), après la plaidoirie de son avocat Romain Desèze, 26 décembre 1792

« Louis doit mourir pour que la patrie vive. »1476

Maximilien ROBESPIERRE (1758-1794), « célèbre sentence »

« Il n’existe qu’une sorte de délit à ce tribunal, la haute trahison, et il n’y a qu’une seule peine, qui est la mort. »1529

Maximilien ROBESPIERRE (1758-1794) réaffirmant la terrible vocation du Tribunal révolutionnaire, Convention, Discours du 25 août 1793

« Ils peuvent être mes bourreaux, mais ils ne seront jamais mes juges. »1539

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), apprenant qu’elle va être jugée par le Tribunal révolutionnaire, début octobre 1793

« Si je n’ai pas répondu, c’est que la nature se refuse à répondre à pareille inculpation faite à une mère : j’en appelle à toutes celles qui peuvent se trouver ici. »1542

MARIE-ANTOINETTE (1755-1793), réplique à un juré s’étonnant de son silence au sujet de l’accusation d’inceste, Tribunal révolutionnaire, 14 octobre 1793

« Est-ce qu’on emporte la patrie à la semelle de ses souliers ? »1579

Georges Jacques DANTON (1759-1794), à son ami Legendre qui le prévient du danger et l’exhorte à s’enfuir à l’étranger, mars 1794

« J’ai l’âge du sans-culotte Jésus ; c’est-à-dire trente-trois ans, âge fatal aux révolutionnaires ! »1583

Camille DESMOULINS (1760-1794), au Tribunal révolutionnaire lui demandant son nom, son âge, 2 avril 1794

« Grâce encore une fois ! Grâce au nom de la tombe,Grâce au nom du berceau. »2099

Victor HUGO (1802-1885), « Au roi Louis-Philippe, après l’arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839. »

« Il est mort comme il a vécu : en sous-lieutenant. »2499

Georges CLEMENCEAU (1841-1929), apprenant le suicide du général Boulanger sur la tombe de sa maîtresse à Ixelles (Belgique), le 30 septembre 1891

« La plus grande flibusterie du siècle… De l’or, de la boue et du sang. »2505

Édouard DRUMONT (1844-1917), La Libre Parole, septembre 1892

Pages