La Bataille de Bouvines
« Ma couronne au plus brave ! »
De Gaulle et les Alliés dans la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), 4e jour.
Autre Allié majeur, les États-Unis qui tardent pourtant à s’engager - même scénario dans la Première Guerre mondiale (1914-1918), où la France a tant espéré le fameux cri de « La Fayette, nous voici ! » en juillet 1917.
La solidarité franco-américaine se fait attendre pour diverses raisons. Question de personne, mais pas seulement !
De Gaulle et les Alliés dans la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), 3e jour.
Les événements se précipitent au jour le jour et l’Allié anglais joue son rôle.
Le « duo » entre Churchill et de Gaulle s’oppose heureusement au « duel » entre de Gaulle et Pétain, chef d’une France qui semble vaincue d’avance : « La vieillesse est un naufrage. Pour que rien ne nous fût épargné, la vieillesse du maréchal Pétain allait s’identifier avec le naufrage de la France. » (De Gaulle, Mémoires de Guerre, L’Appel)
De Gaulle et les Alliés dans la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), 2e jour.
Tout commence avec la Grande-Bretagne, notre alliée la plus proche. L’« Entente cordiale » va jouer un rôle capital dans l’Histoire mondiale. Rappelons qu’elle fut conclue entre la France de Louis-Philippe et l’Angleterre de la reine Victoria un siècle avant (en 1843), sous la Monarchie de Juillet.
La résistance anglaise est littéralement incarnée par Churchill. Même race d’homme que notre Clemenceau national, plongé dans la précédente tragédie - Première Guerre mondiale. Seule différence, Churchill prend le pouvoir plus tôt.
« Cadavres exquis et naissances bénies », suite.
L’Actu de la semaine nous offre trois anniversaires : naissance de Franklin D. Roosevelt et funérailles de W. Churchill (30/01/1882), réunis au sommet de Yalta (04/02/1945). D’où le thème choisi. De Gaulle et les Alliés dans la Seconde Guerre mondiale (1939-1945).
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et twitter).
Il est toujours question d’armée, mais en d’autres mots, sur un autre ton, parfois en chanson. Toutes les Chroniques sont concernées, depuis le Siècle des Lumières. Voici quelques exemples, entre une centaine !
De Gaulle, en deux guerres (Seconde Guerre mondiale, guerre d’Algérie) et beaucoup d’armées différentes.
Sauveur de la France à deux reprises, d’où l’immense prestige du personnage, il a par ailleurs le sens du Mot toujours en situation (commentaires en Chronique) et un langage naturellement militaire…
Clemenceau et la Grande Guerre.
C’est l’un des paradoxes de l’Histoire. Il méprise l’armée, en tout cas la plupart de ses chefs, mais devient chef de guerre hors pair, payant de sa personne et allant dans les tranchées.
L’explication tient en une courte citation. Ensuite, l’Histoire se déroule, en une année terrible.
Révolution, période capitale de notre histoire. En cinq ans, la France passe de l’Ancien Régime à un monde nouveau. L’armée vit le même bouleversement, résumé en quelques citations - toujours commentées en Chronique.