Joly de Fleury : « Le peuple est taillable et corvéable à merci. »
Seconde partie du feuilleton fiscal. Tout annonce la Révolution. Toutes les catégories d’impôts, directs ou indirects, sont insupportables aux Français des Lumières. Des réformes fiscales sont ébauchées. Économistes, financiers et ministres voient très bien la source du mal, mais l’impuissance politique caractérise le XVIIIe siècle.