Cinquième jour de notre série de citations historiques sur le travail : la terrible dureté du XIXe siècle. En l’absence de loi sociale, l’industrialisation aggrave la condition ouvrière et la première grande grève de l’Histoire frappe l’opinion publique informée par la nouvelle presse à grand tirage. Comment les dirigeants politiques ont-ils pu ignorer si aveuglément et si durablement la situation ?
Quatrième jour de notre série de citations historiques sur le travail. Au XIXe siècle, le socialisme naissant est qualifié d’utopiste (par ses solutions plus qu’originales), mais Saint-Simon (le comte) et Fourier voient déjà les vrais problèmes des travailleurs. Louis-Napoléon Bonaparte lui aussi, invité surprise et témoin (sans doute) de bonne foi.
Troisième jour de notre série de citations historiques sur le travail : le XVIIIe, siècle des Lumières. XVIIIe, siècle des Lumières. La philosophie qui s’intéresse à tout s’attaque au problème et à l’ambivalence du travail. Corvée pour le peuple - prise au sens propre et figuré. Mais pouvait-on vraiment réformer le pays et faire l’économie d’une révolution - la Révolution de 1789 ? On y a cru, jusqu’au dernier moment.
Deuxième jour de notre série de citations historiques sur le travail. Point commun entre les princes qui nous gouvernent et les auteurs (ou autres artistes) que nous admirons ? Le travail accompli par raison et par passion, l’amour du métier à la vie, à la mort. Cela existe couramment et va à l’encontre des idées reçues.
Dans l’indexation élargie à 200 mots, le travail n’a pas volé sa place. On n’a que l’embarras du choix. Avec ce travail omniprésent dans l’histoire comme dans la vie, l’Histoire en citations alterne, du sérieux au plaisant, en passant par le drame. En intro et un jour, voici l’échantillon du panorama sur deux semaines.
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L’école refait la une de l’actu et le débat n’est pas clos. Un fait divers anecdotique, voire folklo, débouche sur un authentique fait de société - l’Histoire en citations est là pour témoigner. Cependant que les réformes continuent de faire polémique. C’est de bonne ou mauvaise guerre, dans le jeu politique.
Au XXe siècle, l’enseignement (de masse) est un problème récurrent. De l’école primaire à l’Université, en passant par le collège, le lycée, le bac, on voit les réformes de l’éducation se succéder avec plus ou moins de bonheur. Parfois, « ça explose ». Au-delà du folklore, Mai 68 fera date et sens. Mais rien n’est résolu.
Le XIXe siècle, si avare de lois sociales en faveur des travailleurs, se rattrape en matière d’éducation. Jules Ferry aura le mérite d’appliquer enfin et non sans mal les grands principes républicains. Bien avant la Troisième République, des voix militent pour cette cause nationale et l’on retrouve Hugo, troisième auteur le plus cité de notre Histoire. Débat périodiquement relancé sous la Cinquième.
Histoire de l’éducation en citations, 3e jour. La Révolution, par la voix de Danton, lance un superbe principe, mais manque de temps pour passer à l’application. En cinq ans et une Chronique, l’Histoire en citations galope comme jamais avant ni après.
Le Napoléon du Consulat et de l’Empire a un peu plus de temps et des idées extrêmement arrêtées sur l’éducation - qui doit être « naturellement » autoritaire, à l’image du pouvoir et au service de l’État.
Les Chroniques, en 10 volumes, racontent l’histoire de France de la Gaule à nos jours, en 3 500 citations numérotées, sourcées, replacées dans leur contexte, et signées par près de 1 200 auteurs.
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