Le culte de l’Être suprême
« Le peuple français reconnaît l’existence de l’Être suprême et l’immortalité de l’âme. »
« Le peuple français reconnaît l’existence de l’Être suprême et l’immortalité de l’âme. »
Contrairement à l’idée reçue, la guillotine est un progrès de la justice, instauré par la Révolution… qui en a quand même abusé avec la Terreur. La République en a ensuite usé, jusqu’à l’abolition de la peine de mort en 1981.
Omniprésente dans l’Histoire en citations, la mort fut souvent traitée en citations du jour (cf. indexation, les deux mots : mourir et mots de la fin). La semaine de la Toussaint et de la fête des morts est une occasion de considérer la mort sous un jour différent.
On peut d’abord en rire : exemple de « drôle de mort » et d’épitaphes satiriques comme on n’en oserait plus.
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et twitter).
1958. L’épilogue approche. C’est encore une guerre qui va faire tomber le régime et ramener l’homme providentiel. L’Histoire se répète. Mais c’est une guerre civile qui ne dit pas encore son nom et déchire les Français, la guerre d’Algérie.
Quatrième République. Traversée du désert pour de Gaulle qui s’impatiente à Colombey. Il va revenir sur la scène politique. On ne sait pas encore pourquoi, ni quand ni comment, mais on sait que… Lui en tout cas, avec son sens du destin, sa vision de la France, son regard sur le monde comme il va ou ne va pas, et une minorité de fidèles toujours gaullistes.
N’oublions pas les vrais problèmes, la géopolitique toujours passionnante et parfois périlleuse, la conquête de l’espace, tout ce qui dépasse l’histoire de France et en fait quand même partie. De la Gaule à nos jours, l’Histoire en citations le rappelle aussi souvent que possible.
Le personnel politique est tenu pour globalement responsable et la politique politicienne commence à lasser, la presse d’opinion (très marquée, à droite ou à gauche) dénonçant le climat social et politique.
Politisation extrême sous la Quatrième (comme dans l’Entre-deux-guerres), avec des idéologies marquées, des affrontements d’une violence aujourd’hui inimaginable, entre la gauche et la droite. Le « dégagisme » entre en scène sans dire son nom.