L’Histoire en citations

Napoléon Bonaparte. Star de l’Histoire, entré en scène au Directoire (1795), sorti aux Cent Jours (1815), grand premier rôle sous le Consulat et l’Empire.

Résumé du personnage en quelques citations qui peuvent faire sourire ou frémir, à l’image de notre Histoire en citations.

Consulat, suite et fin. Une étape pour le futur empereur. Il apprend son métier et son franc-parler n’est pas sans humour. L’opposition à sa personne en aura toujours davantage, avec une mention spéciale pour la chanson, source de citations inépuisable, expression du peuple (anonyme) et libre de toute censure.

Le coup d’État a mis fin au Directoire - et donc à la Révolution qui est (bien ou mal) finie.

Voici le Consulat, nouveau régime avec le nouvel homme fort de l’histoire, désormais maître de la France. Napoléon Bonaparte s’impose à 30 ans, avec une évidence qui frappe tous les contemporains. L’humour survit, mais change de ton.

Le Directoire ne pouvait survivre longtemps à tous ses (plaisants) défauts.

L’irruption de Napoléon Bonaparte sur la scène politique va précipiter les événements et sidérer les contemporains. L’humour survit quand même, au second degré - un de ses secrets.

La France du Directoire est plus facile à vivre que sous la Révolution, mais l’état déplorable de l’économie et des finances ne laisse aucune chance à ce régime mal né, condamné par la crise sociale. Démonstration plaisante, dans l’Histoire en citations.

Directoire, Consulat, Empire - et Napoléon, fil directeur des trois régimes qui se succèdent.

Chansons anonymes ou Noms connus, on retrouve les sources d’humour de l’Histoire en citations.

Le Directoire a sans nul doute la palme de l’humour. La France respire et s’amuse - du moins les privilégiés. Mais ce régime mal conçu a trop de défauts pour durer.

Cinquième République. Le citoyen nouveau est de retour. L’histoire est une passion française et les citations en témoignent, vibrantes d’une idéologie citoyenne et républicaine. Ce qui n’exclut pas l’humour, qui aura le dernier mot.

Le citoyen peut se cacher sous d’autres noms, entre autres, le patriote, très présent sous la Révolution - et l’électeur, que nous retrouverons bientôt.

Après la Révolution, retour au classique « Monsieur ». Mais le mot et l’idée de citoyen, citoyenne, citoyenneté reviendront à l’ordre du jour.