Apollinaire : « Ah Dieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants, ses longs loisirs. »
Première Guerre mondiale. L’humour de guerre dans tous ses états est porté au maximum, sur le terrain politique, patriotique, militaire, littéraire, chanté, journalistique, alors que la tragédie bat tous les records : 20 millions de morts en quatre ans. Clemenceau « assure », plus que jamais présent, parlant et agissant, mais des auteurs se distinguent à leur manière.




















