« L’an passé, ils adoraient le sabre. Les voilà maintenant qui adorent le gourdin. »2209
(1802-1885), mots prémonitoires, datés de novembre 1849
« Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part. »2211
(1802-1885), Assemblée législative, avril 1851
(1802-1885), Assemblée législative, Discours du 17 juillet 1851
(1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)
(1802-1885), Histoire d’un crime (1877)
« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »2234
(1802-1885), Les Châtiments (1853)
(1802-1885), Napoléon le Petit (1852)
« Qui arracherait une plume à son aigle risquerait d’avoir dans la main une plume d’oie. »2248
(1802-1885), Histoire d’un crime (1877)
« L’histoire a pour égout des temps comme les nôtres. »2257
(1802-1885), Les Châtiments (1853)
« Une guerre entre Européens est une guerre civile. »2323
(1802-1885), Carnets, albums et journaux
« Sauver Paris, c'est plus que sauver la France, c'est sauver le monde. »2325
(1802-1885), Pendant l’exil (écrits et discours de 1852-1870)
« Citoyens, j’avais dit : le jour où la République rentrera, je rentrerai. Me voici ! »2335
(1802-1885), de retour à Paris, gare du Nord, 5 septembre 1870
« Nous mangeons du cheval, du rat, de l’ours, de l’âne. »2347
(1802-1885), L’Année terrible (Lettre à une femme, janvier 1871)
« Trochu : participe passé du verbe trop choir. »2349
(1802-1885)
« L’Assemblée refuse la parole à M. Victor Hugo, parce qu’il ne parle pas français ! »2357
(1811-1888), Assemblée nationale, Bordeaux, 8 mars 1871
« Ne nous lassons pas, nous les philosophes, de déclarer au monde la paix. »2410
(1802-1885), Discours du 25 mars 1877, Depuis l’exil (1876-1885, fin, posthume)
(1862-1923), Mes cahiers, 1896-1898 (1929)
(1802-1885), Claude Gueux (1834)
(1930-2016), Premier ministre, Discours à la Convention nationale des clubs « Forum et convaincre », 27 janvier 1990