Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, c’est une réalité universelle, au cœur de maintes théories économiques, souvent opposé au Capital par le socialisme et le communisme. C’est aussi le contraire du chômage et le souci des politiques économiques. Enfin, n’oublions pas que les (grands) politiques sont des travailleurs acharnés : Richelieu, Louis XIV, Napoléon… Seul Talleyrand feignit certaine paresse.
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Affichage de 1 - 25 sur 49.« Ceux qui prient, ceux qui combattent, ceux qui travaillent. »52
(vers 925-990) et (1033-1109)
(1592-1662), Épigramme sur le Dictionnaire de l’Académie
(1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)
(1638-1715)
(1675-1755), Mémoires (posthume)
« Pro rege saepe ; pro patria semper. » « Pour le roi souvent ; pour la patrie toujours. »862
(1619-1683), sa devise
« Si j’avais fait pour Dieu ce que j’ai fait pour cet homme, je serais sauvé dix fois. »891
(1619-1683), sur son lit de mort, parlant de Louis XIV, début septembre 1683. Mot de la fin
(1694-1778), Lettres philosophiques (1734)
(1694-1778), Lettre à d’Argental, 22 octobre 1759, Correspondance (posthume)
« J’aime mieux leur [aux paysans] demander des bras qu’ils ont que de l’argent qu’ils n’ont pas. »1104
(1689-1747), contrôleur général des Finances de 1730 à 1745
« Il a travaillé, il a travaillé, pour le roi de Prusse. »1150
Refrain, devenu proverbe, et signifiant travailler pour rien.
Chanson sur la défaite de Soubise à Rossbach (en Prusse) (1757)
Les Édits (1776), chanson des Jacques Bonhomme de France
(1760-1825), Doctrine de Saint-Simon : Exposition. Première année (1829)
(1772-1837), Livret d’annonce du nouveau monde industriel (1829)
(1787-1874), Discours du 3 mai 1837
« Vivre libres en travaillant ou mourir en combattant. »2069
Cri célèbre de l’émeute des canuts, 22 novembre 1831
« Du travail ou la mort ! Nous aimons mieux périr d’une balle que de faim. »2071
Réponse des ouvriers au préfet
(1777-1832), Chambre des députés, 1831
(1821-1870), parole et musique, Le Chant des ouvriers (1846)
(1818-1860), Les Aristos (1848), chanson
(1811-1882), parlant au nom du gouvernement provisoire, 25 février 1848
(1794 ou 1795-1851), Discours à la Bourse, 30 avril 1848