« L'ogre corse sous qui nous sommes, Cherchant toujours nouveaux exploits, Mange par an deux cent mille hommes Et va partout chiant des rois. »
L’histoire impériale vue par le peuple s’écrit en chansons (et pamphlets, également anonymes) : suite et fin, de plus en plus cruelle, mais les Cent Jours prennent déjà un autre ton et la légende est assurée par le talent de Béranger - sans oublier le génie d’Hugo.