Fort ou faible, généralement mal aimé, accusé de tous les maux du pays et des Français, sous l’Ancien Régime comme en République, c’est un mal nécessaire qui peut se révéler fort utile, pour diriger durablement l’État, entité politique et juridique indispensable.

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« Est-il heureux ? »756

MAZARIN (1602-1661)

« Louis XIV le reçut comme un père et le peuple comme un maître. »796

VOLTAIRE (1694-1778) évoquant le retour de Mazarin, 3 février 1653

« Sire, je vous dois tout, mais je m'acquitte envers Votre Majesté en lui donnant Colbert. »805

MAZARIN (1602-1661) à Louis XIV, le 9 mars 1661. C’est son « mot de la fin » politique

« Nous sommes la tête d’un corps dont les sujets sont les membres. »808

LOUIS XIV (1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)

« Ultima ratio regum. »« Dernier argument des rois. »817

LOUIS XIV (1638-1715), devise gravée sur ses canons

« Les peuples se plaisent au spectacle. Par là, nous tenons leur esprit et leur cœur. »819

LOUIS XIV (1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)

« Aussitôt qu’un roi se relâche sur ce qu’il a commandé, l’autorité périt, et le repos avec elle. »846

LOUIS XIV (1638-1715), Mémoires pour l’instruction du Dauphin (1662)

« Si j’avais fait pour Dieu ce que j’ai fait pour cet homme, je serais sauvé dix fois. »891

Jean-Baptiste COLBERT (1619-1683), sur son lit de mort, parlant de Louis XIV, début septembre 1683. Mot de la fin

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