Fort ou faible, généralement mal aimé, accusé de tous les maux du pays et des Français, sous l’Ancien Régime comme en République, c’est un mal nécessaire qui peut se révéler fort utile, pour diriger durablement l’État, entité politique et juridique indispensable.

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« À reculons, nous entrons dans la République ! »2444

Léon GAMBETTA (1838-1882), La République française

« Je suis, vous le savez, messieurs, profondément républicain et profondément conservateur. »2448

Jules SIMON (1814-1896), président du Conseil, Chambre des députés, Déclaration ministérielle du 14 décembre 1876

« Il sera cardinal avant moi ! »2449

Monseigneur DUPANLOUP (1802-1878)

« Vous êtes le gouvernement des prêtres et le ministre des curés. »2451

Léon GAMBETTA (1838-1882), au ministre de l’Intérieur Fourtou, mi-juin 1877

« Il s’agit toujours du même. »2472

Georges CLEMENCEAU (1841-1929)

« Ils [les ministres] tomberont de si bas que leur chute même ne leur fera pas de mal. »2507

Anatole FRANCE (1844-1924), Les Opinions de M. Jérôme Coignard (1893)

« Désormais, ces messieurs sauront qu’ils ont toujours une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête, ils voteront peut-être des lois plus justes. »2510

Auguste VAILLANT (1861-1894), Déclaration à la police qui l’interroge, après l’attentat qu’il a perpétré, le 9 décembre 1893

« De vous à moi, il n'y a pas tant de différence. — Il y a toute la question religieuse. »2534

Raymond POINCARÉ (1860-1934), à Charles BENOIST (1861-1936)

« Qu’est-ce qui les sépare ? Leurs idées. Ils en ont si peu. »2535

Georges CLEMENCEAU (1841-1929), ironisant à la vue de deux députés fâchés à mort, ce qui ne les empêche pas de trinquer à la buvette du Palais-Bourbon

« Ce sont les oies qui ont sauvé le Capitole. »2544

Georges CLEMENCEAU (1841-1929)

« Nous voulons vaincre pour être justes. »2604

Georges CLEMENCEAU (1841-1929), Chambre des députés, Déclaration ministérielle du 20 novembre 1917

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