Fort ou faible, généralement mal aimé, accusé de tous les maux du pays et des Français, sous l’Ancien Régime comme en République, c’est un mal nécessaire qui peut se révéler fort utile, pour diriger durablement l’État, entité politique et juridique indispensable.

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« La commission est un ministère au petit pied et aux grandes prétentions. »2644

Raymond POINCARÉ (1860-1934), à propos de la commission des Finances, en 1922

« Je fais à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur. »2750

Philippe PÉTAIN (1856-1951), Allocution à la radio, 17 juin 1940

« C’est le cœur serré que je vous dis aujourd’hui qu’il faut cesser le combat. »2752

Philippe PÉTAIN (1856-1951), Allocution à la radio, 17 juin 1940

« J’entre aujourd’hui dans la voie de la collaboration. »2772

Philippe PÉTAIN (1856-1951), Annonce faite aux Français, 30 octobre 1940

« On prend les mêmes et on recommence. »2841

Formule habituelle pour saluer les changements de gouvernement

« Le régime des partis, c'est la pagaille. »2842

Charles de GAULLE (1890-1970), entretien télévisé avec Michel Droit, 15 décembre 1965

« La politique, ce n’est pas de résoudre les problèmes, mais de faire taire ceux qui les posent. »2875

Henri QUEUILLE (1884-1970), nouveau président du Conseil, septembre 1948

« La démocratie, c’est d’abord un état d’esprit. »2890

Pierre MENDÈS FRANCE (1907-1982), La République moderne (1962)

« L’intendance suivra. »2942

Attribué à Charles de GAULLE (1890-1970), qui niera l’avoir dit

« Nous ne parvenons pas à accomplir des réformes autrement qu’en faisant semblant de faire des révolutions. »2953

Jacques CHABAN-DELMAS (1915-2000), Assemblée nationale, 16 septembre 1969

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