| Page 10 | L’Histoire en citations
Édito de la semaine

Femmes historiques (Révolution)

Reines et régentes (plus récemment femmes d’État et ministres), saintes et favorites, muses ou artistes, poétesses, conteuses, épistolières, mécènes (très tôt), exploratrices et sportives (époque contemporaine)… tous les rôles sont jouables. Hors notre histoire nationale, nous citerons quelques noms universels et nous ferons place à des étrangères en relation directe avec la France ou mondialement célèbres.

Édito de la semaine

Les perles de la langue française, du XVIIe siècle à nos jours

L’histoire de la langue se confond avec l’histoire de France pour des raisons politiques et culturelles. L’Histoire en citations en rend compte et la chronologie s’impose.

Une fois n’est pas coutume, après un Moyen Âge inventif, la « belle époque » se situe à la Renaissance avec trois auteurs majeurs à divers titres : Rabelais, Ronsard, Montaigne.

Au XVIIe siècle, « la langue de Molière » vaut pour son parlé populaire. La Révolution nous étonne comme souvent. Des noms contemporains ont des trouvailles bienvenues : voir de Gaulle, Chirac et quelques surprises.
Mention spéciale aux chansons toujours en situation, nées d’un peuple anonyme et talentueux.

Restent les jurons, cas très particulier ! Ils ont la vie dure et un sens caché plaisant à débusquer. Pour ne pas blasphémer, « par le sang de Dieu » devient palsambleu. Bigre, fichtre, diantre cachent aussi leur jeu… et deux jurons originaux sont signés de deux rois, Henri IV et Ubu.
Au final, notre langue reste bel et bien vivante et nombre d’anachronismes, remis en situation,  sont plaisants à (re)découvrir : matamorisme, sauvageons & Cie.

Édito de la semaine

Les perles de la langue française, du Moyen Âge au XVIIe siècle

L’histoire de la langue se confond avec l’histoire de France pour des raisons politiques et culturelles. L’Histoire en citations en rend compte et la chronologie s’impose.

Une fois n’est pas coutume, après un Moyen Âge inventif, la « belle époque » se situe à la Renaissance avec trois auteurs majeurs à divers titres : Rabelais, Ronsard, Montaigne.

Au XVIIe siècle, « la langue de Molière » vaut pour son parlé populaire. La Révolution nous étonne comme souvent. Des noms contemporains ont des trouvailles bienvenues : voir de Gaulle, Chirac et quelques surprises.
Mention spéciale aux chansons toujours en situation, nées d’un peuple anonyme et talentueux.

Restent les jurons, cas très particulier ! Ils ont la vie dure et un sens caché plaisant à débusquer. Pour ne pas blasphémer, « par le sang de Dieu » devient palsambleu. Bigre, fichtre, diantre cachent aussi leur jeu… et deux jurons originaux sont signés de deux rois, Henri IV et Ubu.
Au final, notre langue reste bel et bien vivante et nombre d’anachronismes, remis en situation,  sont plaisants à (re)découvrir : matamorisme, sauvageons & Cie.

Édito de la semaine

Femmes historiques (Siècle de Louis XIV et siècle des Lumières)

Reines et régentes (plus récemment femmes d’État et ministres), saintes et favorites, muses ou artistes, poétesses, conteuses, épistolières, mécènes (très tôt), exploratrices et sportives (époque contemporaine)… tous les rôles sont jouables. Hors notre histoire nationale, nous citerons quelques noms universels et nous ferons place à des étrangères en relation directe avec la France ou mondialement célèbres.

Édito de la semaine

Femmes historiques (Renaissance, guerres de Religion et naissance monarchie absolue)

Reines et régentes (plus récemment femmes d’État et ministres), saintes et favorites, muses ou artistes, poétesses, conteuses, épistolières, mécènes (très tôt), exploratrices et sportives (époque contemporaine)… tous les rôles sont jouables. Hors notre histoire nationale, nous citerons quelques noms universels et nous ferons place à des étrangères en relation directe avec la France ou mondialement célèbres.

Édito de la semaine

Femmes historiques (Moyen Âge)

Reines et régentes (plus récemment femmes d’État et ministres), saintes et favorites, muses ou artistes, poétesses, conteuses, épistolières, mécènes (très tôt), exploratrices et sportives (époque contemporaine)… tous les rôles sont jouables. Hors notre histoire nationale, nous citerons quelques noms universels et nous ferons place à des étrangères en relation directe avec la France ou mondialement célèbres.

Édito de la semaine

Femmes historiques à divers titres, entre symbole et réalité.

Reines et régentes (plus récemment femmes d’État et ministres), saintes et favorites, muses ou artistes, poétesses, conteuses, épistolières, mécènes (très tôt), exploratrices et sportives (époque contemporaine)… tous les rôles sont jouables. Hors notre histoire nationale, nous citerons quelques noms universels et nous ferons place à des étrangères en relation directe avec la France ou mondialement célèbres.

Édito de la semaine

La Foire aux utopies : du plus classique au plus original (de 1914 à nos jours)

Du Moyen Âge à nos jours, de la chevalerie à l’écologie, la France se révèle le pays des grandes utopies, tout en observant le monde comme il va ou ne va pas : « Le poète en des jours impies / Vient préparer des jours meilleurs. / Il est l’homme des utopies ; / Les pieds ici, les yeux ailleurs. » Victor Hugo (Les Rayons et les Ombres)

Le dictionnaire définit l’utopie : construction imaginaire et rigoureuse d’une société qui constitue, par rapport à celui qui la réalise, un idéal ou un contre-idéal. Par extension, c’est un projet dont la réalisation est impossible, ou plus simplement encore une conception imaginaire.
L’Histoire corrige ce pessimisme : certaines utopies peuvent se réaliser à plus ou moins long terme et peser sur le destin du monde. La Révolution en donne l’exemple, mais aussi la Résistance pendant la dernière guerre.

L’Utopie, écrit en latin et publié en 1516, est l’œuvre de Thomas More, humaniste et théologien de la Renaissance devenu Chancelier d’Angleterre, mais toujours tiraillé entre action et méditation, vie civile active et retrait monacal. Modèle de tolérance mort en « martyr » (selon la légende) et canonisé en 1935 par Pie XI.  

Dans sa première édition, l’Utopie se présente assez naïvement comme « Un vrai livre d’or, un petit ouvrage non moins salutaire qu’agréable, relatif à la meilleure forme de communauté politique et à la nouvelle Île d’Utopie. » L’immense retentissement du « petit ouvrage » surprend son auteur. Après la lecture religieuse de l’œuvre au XVIe siècle et la lecture philosophique du texte qui se réfère à Platon, la lecture politique et critique servira de référence au socialisme et au communisme. C’est aussi un genre littéraire à l’origine du mot utopie, entré dans le langage courant par référence à l’Île d’Utopie créée par l’auteur – carte détaillée à l’appui.

Par ordre d’apparition chronologique dans l’Histoire en citations, voici 45 utopies présentées en deux parties. 

Pages

L'Histoire en citations - Gaule et Moyen Âge

L'Histoire en citations - Renaissance et guerres de Religion, Naissance de la monarchie absolue

L'Histoire en citations - Siècle de Louis XIV

L'Histoire en citations - Siècle des Lumières

L'Histoire en citations - Révolution

L'Histoire en citations - Directoire, Consulat et Empire

L'Histoire en citations - Restauration, Monarchie de Juillet, Deuxième République

L'Histoire en citations - Second Empire et Troisième République

L'Histoire en citations - Seconde Guerre mondiale et Quatrième République

L'Histoire en citations - Cinquième République

L'Histoire en citations - Dictionnaire