Auguste Vaillant
« Messieurs, la séance continue ! »
Charles-Alexandre DUPUY (1851-1923), Chambre des députés, 9 décembre 1893. Annales de la Chambre des députés (1893), Assemblée nationale
« Messieurs, la séance continue ! »
Charles-Alexandre DUPUY (1851-1923), Chambre des députés, 9 décembre 1893. Annales de la Chambre des députés (1893), Assemblée nationale
« Je n’ai rien à offrir que du sang, de la sueur et des larmes. »
Deux citations exemplaires à divers titres, deux vérités signées d’un grand militaire (Lyautey) et d’un grand politique (Clemenceau), acteurs notoires de la Troisième République et de l’Histoire en citations.
Première Guerre mondiale (1914-1918). Depuis quatre ans, la célébration de cet événement majeur du récit national fait périodiquement la une de l’actu et l’Histoire en citations lui fait écho. À cette occasion, nous vous offrons un téléchargement gratuit (extrait de la Chronique 8).
Le 3 août 1914, l’Allemagne déclare la guerre à la France : cette semaine est consacrée au début de la « Grande Guerre ». La fin sera traitée avec l’armistice du 11 novembre (1918).
Voici quelques repères simples et clairs - pour en savoir plus, profitez de notre offre et découvrez l’extrait gratuit de notre Chronique, afin de revivre en citations la Première Guerre Mondiale.
Cliquez ici pour télécharger l’extrait gratuit
À l’occasion de l’anniversaire du début de la Première Guerre Mondiale, nous vous proposons de découvrir gratuitement l’extrait gratuit sur la Grande Guerre, tiré de notre Chronique n°8 sur le Second Empire et la Troisième République. Profitez-en !
Épilogue de Thermidor. Quelques grands acteurs de la Terreur sont jugés et condamnés à mort - tels Carrier, Fouquier-Tinville. La Convention thermidorienne affronte deux insurrections populaires, évite le pire à Paris, mais la Terreur blanche ensanglante la province. Fin de la Révolution, place au nouveau régime du Directoire - et à Bonaparte, bientôt Napoléon, sacré empereur.
Le Neuf-Thermidor est chanté, salué, célébré comme une délivrance et la Convention (dite) thermidorienne adopte une politique de modération, pour rallier à la République l’ensemble du pays. Les contre-révolutionnaires (monarchistes, émigrés) restent des opposants irréductibles.
27 juillet 1794 (9 Thermidor an II). Jour du coup d’État proprement dit.
Le drame se joue en quelques heures : à la tribune de l’Assemblée, puis dans les rues de Paris où les insurgés de la Commune tentent de sauver Robespierre. Le lendemain, Robespierre et ses amis sont guillotinés.
26 juillet 1794 (8 Thermidor an II).
Le coup d’État se prépare dans les coulisses de la Convention, mais Robespierre qui la préside en maître absolu semble ignorer le danger.