Vos 5 citations préférées de la semaine
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et twitter).
Semaine consacrée aux guerres de Religion.
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et twitter).
Semaine consacrée aux guerres de Religion.
Guerres de Religion (fin). Henri III, dernière victime du fanatisme.
La Ligue catholique soulève Paris (première Journée des Barricades de l’histoire, 12 mai 1588) contre le roi allié à son cousin huguenot Henri de Navarre, héritier présomptif de la couronne. Henri III va payer de sa vie cette alliance qui semble contre nature à une France majoritairement catholique et le « tyrannicide » est dans l’air de ce temps fanatique.
Guerres de Religon (suite). Henri III au pouvoir malmené.
Le roi va affronter quatre guerres de Religion. La religion n’est qu’un prétexte aux ambitions politiques, dans une France plus que jamais divisée, ingouvernable. De grandes voix en témoignent, Ronsard en poète, Montaigne en philosophe. Henri III n’a pas les moyens de sa (bonne) volonté, tandis qu’Henri de Navarre devient l’héritier présomptif du trône à la mort du dernier fils de Catherine… ce qui réveille la Sainte Ligue ultra-catholique.
Guerres de Religon (suite). La Saint-Barthélemy et Charles IX, victime collatérale du massacre.
Charles IX a suivi la politique de sa mère, Catherine de Médicis qui n’avait plus qu’une obsession, assurer l’autorité de ses fils. C’est lui qui a donné l’ordre de tuer. Il meurt à 23 ans, miné par le remords (et par la tuberculose familiale). Henri III, le fils préféré, va prendre sa place, dans un pays en pleine guerre civile.
Guerres de Religon (suite). La Saint-Barthélemy, 24 août 1572.
Les protestants sont venus en masse à Paris, pour fêter les noces d’Henri III de Navarre (futur Henri IV) avec la reine Margot (sœur de Charles IX). Ce mariage royal va déclencher le massacre. Des milliers de morts en une nuit, le fanatisme va gagner tout le pays et renforcer l’armée protestante…
Guerres de Religon (suite). 1562, massacre de Wassy.
Début de la première des huit guerres de Religion – trente-six années de guerre civile, presque sans répit, jusqu’à l’édit de Nantes (1598). Ronsard, catholique ardent et poète engagé des « misères de ce temps », est préposé à l’éducation du jeune roi Charles IX. Catherine de Médicis a compris que la paix n’est plus possible entre les deux camps également fanatiques.
2. Guerres de Religion (1559-1589)
Après l’accident de tournoi fatal à Henri II, la France va vivre trente-huit année de luttes fratricides et huit « guerres de Religion » déclarées (entre 1562 et 1589), aggravées de conflits d’ambitions, alliances avec l’ennemi anglais ou espagnol, rivalités de famille (les Condé contre les Guise) et coteries auprès de rois trop jeunes ou incapables de gouverner.
La guerre civile était inévitable et le pire déjà annoncé. Pourtant, la régente Catherine de Médicis et son chancelier Michel de l’Hospital parient encore sur la tolérance et la paix.
Découvrez les 5 citations qui ont remporté le plus de succès cette semaine sur les réseaux sociaux (Facebook et twitter).
Semaine consacrée au passage du beau XVIe siècle de la Renaissance culturelle et du rêve italien incarné par François Ier, le Roi Chevalier, au cauchemar des guerres de Religion, l’anarchie, la haine et le fanatisme, symbolisé par le massacre de la Saint-Barthélemy.
Fin de la Renaissance et prémices des guerres de Religion.
Henri II succède à François Ier. Le mirage italien opère encore. Un demi-siècle de victoires et de défaites alternées se soldent par un gain modeste pour la France, au traité de Cateau-Cambrésis (1559). Les nouvelles idées religieuses se répandent. Rien ne sert de brûler les livres ou d’emprisonner ceux qui réclament la Réforme, la « secte hérétique pullule » et Calvin en prend la tête. L’Église réformée de France est fondée (1559). Voilà le royaume divisé en deux peuples, deux religions : huguenots hérétiques contre papistes idolâtres.
La Renaissance « de » François Ier (suite et fin).
Désastre de Pavie (1525), dix ans après la victoire de Marignan. Les problèmes s’accumulent. De nouvelles idées religieuses véhiculées par les livres de Luther (auteur le plus vendu, après la Bible) remettent en question l’Église catholique : la religion doit retrouver sa pureté originelle. Charles Quint (empereur de 1519 à 1556), maître de l’Allemagne et de l’Espagne, se joint aux adversaires de François Ier dans les guerres d’Italie.
Cependant, le règne reste brillant. Le français devient seule langue officielle : ordonnance de Villers-Cotterêts (1539). La bourgeoisie s’enrichit et se lance dans de lointaines expéditions maritimes encouragées par la royauté - Jacques Cartier au Canada. Les paysans sont plus heureux, mais le petit peuple des villes souffre de l’augmentation des prix mal suivis par les salaires.