Éginhard : « La famille des Mérovingiens […] avait déjà perdu toute vigueur depuis longtemps et ne se maintenait plus que par ce vain titre de roi... »
La dynastie des Mérovingiens finit mal, avec les « rois fainéants ». Leur faiblesse fait la force des « maires du palais » (tel Charles Martel), mais d’autres rois vont s’imposer, Pépin le Bref (le Nain) et son fils Charles, futur (Grand) Charlemagne. La défaite de son armée contre les Sarrazins, magnifiée par la Chanson de Roland, fait date dans le récit national et l’histoire de la langue française.